Petits gâteaux de Noël

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Alors que mon blog va passer avec le nouvel an dans sa 3è année, je suis très heureuse en cette veille de fin d’année de vous offrir LA recette EXCLUSIVE des petits gâteaux de mamie Gigi!!!! Bien sûr dit comme ça, ça ne vous fait ni chaud ni froid. Sachez simplement que ma grand mère maternelle, la dite Gilberte, nous envoyait à chaque Noël un paquet de ses fameux petits gâteaux de mamie Gigi. Mais que jamais, au grand jamais, ma grand-mère n’a voulu me filer la recette, et encore moins me montrer la machine « indispensable ma petite chérie si tu veux faire les gâteaux« . Tout ça est donc resté du grand mystère jusqu’à la mort de ma grand mère paternelle, mamie Janine, celle de la confiture d’orange, qui elle, avait la recette manuscrite de mamie Gigi (grrrr) dans son cahier dont j’ai hérité!!!! Depuis, je ne cesse d’enquêter pour

Easy scones à faire aux cops

Mes années d’Angleterre, et sans doute un peu mes origines, m’ont donné le goût des scones! Ces petits gâteaux mi pâtisserie mi pain qui ne rentrent dans aucune catégorie pâtissière sont à déguster chauds, à la sortie du four, tartinés de chantilly et de confiture ou de beurre et de miel, ou tout à la fois ! au brunch comme au goûter. A cumuler pour un brunch so brit’ sans scrupule avec les pancakes de la semaine dernière! Scones 2 dl de lait 400 g de farine 2 sachets de levure 1/2 cc de sel 100g de beurre 125 g de raisins trempés dans du rhum Mélanger farine + levure Chauffer le four à 200°. Ajouter le beurre mou, le sel, les raisins et enfin le lait de sorte d’obtenir une pâte souple et molle, pas trop collante. Former une plateforme de 12 à 15 cm d’épaisseur. Y découper avec

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Le gâteau d’Eve

Si vous ne l’avez pas mangé à la Fabric’A de ma cousine, voilà la recette du gâteau d’Eve, un classique des classiques aux pommes dans la famille sofoodsogood!!! Le Gâteau d’Eve, c’est la 1ère recette que j’ai dans mon cahier de recettes perso, juste avant celle du le gâteau au yaourt…Ma tante Françoise qui a glissé dans la famille cette recette infernale,  me dit qu’elle « a eu l’idée de présenter le gâteau d’Eve dans un fond de tarte; les parts sont plus présentables« … Pour sa cantine, ma cousine Marion, remplace elle l’huile par du beurre et cuit le gâteau un peu plus longuement de sorte que les amandes sont toutes caramélisées.  

Pesto, c’est l’été. Merci Passedat

Le pesto, c’est comme l’histoire de la cigale, c’est en été qu’il faut le faire pour pas se trouver fort dépourvu, quand la bise fut venue… Surtout avec le petit conseil que m’a soufflé Gérald Passedat. Surtout il faut arrêter d’acheter du pesto tout fais car c’est super facile à faire et 15 fois meilleur. Un peu comme la pâte brisée! Voilà l’excellente recette de Bruno, mon ex beau frère, celui du limoncello! Après le limoncello di Bruno, le pesto di même Bruno. En version rapide, et en version sophistiquée, soufflée par Gérald Passedat. Pesto Un bouquet de basilic 2 gousses d’ail 100 g de parmesan 50 g de pecorino 50 g de pignons Huile d’olive Effeuiller le basilic. Dans un robot, raper les 2 fromages. Ajouter l’ail, les pignons, mixer. Enlever la préparation et, sans nettoyer, remplacer par les feuilles de basilic. Mixer puis ajouter le mélange précédent, laisser

Courgettes aux amandes de ma mère

Les courgettes aux amandes sont un des rares plats légués par ma mère… Car ma mère n’a jamais été du genre grosse bouffe. Ou plutôt grosse cuisine. Profil soixantuitard, déviant bio voire macrobio, rebelle d’une grande cuisine bourgeoise et normande  qui mettait l’oseille dans le St Pierre, elle a toujours estimé que manger c’est bien, mais lire c’est mieux! Même si à mon sens, il n’y a pas d’antinomie. Bref, histoire de ne pas perdre de temps devant les casseroles, elle a parfois de petits trucs qui rendent le basique sympathique. Du genre des amandes effilées sur un plat de courgettes! Poêlées ou cuites à l’eau, à l’ai ou à la crème, on leur rajoute simplement une poignée d’amandes effilées légèrement revenues à sec,  juste avant de servir pour garder le croquant et les courgettes du dimanche s’égayent soudainement de leur monotonie. Merci qui? Merci mamannnnn….

Tarte au chocolat bruxelloise

La tarte au chocolat bruxelloise tourne dans la famille comme une madelaine de Proust. Tout le monde en fait sans que l’on n’ait aucune origine belge (à ma connaissance)… Donc d’où vient cette tarte inscrite dans le livre de ma grand mère? No sé. Mais en tout cas, super facile à faire cette tarte originale parce que mi gâteau mi mousse avec l’aspect d’une tarte….Une des premières recettes que j’ai dû faire. Donc l’idée c’est : vous enfermez les enfants dans la cuisine, vous, vous recouchez et pour ce midi vous aurez un super dessert, 0 effort maxi plaisir! Tarte au chocolat bruxelloise 150g de chocolat 100g de sucre 150g de farine + 2 cs de farine 3 oeufs 1cc de levure 150g de beurre Faire fondre chocolat. Laisser un  peu refroidir. Ajouter le sucre. Puis le beurre en pommade et les jaunes. Battre les blancs en neige et les

Limoncello |rappel

C’est la saison des citrons, c’est l’heure du limoncello!

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Chantier de Noël |2. truffes

Hier, mercredi (et vacances) obligent, c’était chantier de nOël |1version petits sablés aux épices – les Spekulatius – à accrocher dans le sapin. Aujourd’hui, pour mon chantier de nOël |2 (vacances obligent…), j’ai collé ma fille et sa cops du jour (vacances toujours !), Lucie, aux truffes! Les truffes pour les minots c’est la franche rigolade. Un peu comme si on remplissait la baignoire de chocolat et qu’on leur disait allez, hop, au bain. Ou qu’on les faisait sauter sur un trampoline en barbapapa. Les truffes, c’est le droit de mettre la main dans la casserole, faire un grand chantier de trous dans la pâte, mouler avec les doigts, de la patouille autorisée et même encouragée. Au bout d’un moment, ça dégénère bien sûr. Les filles commencent à se tatouer au chocolat, à jouer à ca sera toi qui sera pleine de cho co lat, et arrivé midi 20, juste

Gelée de coings, je l’ai

… Les Joyeux, ce sont les pièces rapportées! Ma belle famille quoi (enfin ex, mais passons). Mi charentais mi parisiens qui passaient leur jeunesse à Oléron à faire des gueuletons sur la plage en charrette à vélo (bien avant le pont). Et à la tête des Joyeux, il y a Mina! Du genre à faire la gamelle pour 3 grands garçons qui rentrant du foot avec des chaussettes collées aux chaussures s’avalaient un saladier de Coca (sic) et réclamaient encore après ça leur pitance. Quand à l’avant dernière, elle a essayé de survivre mais du coup s’est mariée à un rugbyman du genre à pas se laisser chasser dehors sans le sucre. Mina n’est pas du genre à s’embêter en cuisine. Elle vous fera un baeckeofe (jamais mangé de ce truc ailleurs…) mais surtout parce qu’elle a des origines allemandes et que ça mijote pendant qu’elle peut regarder la télé.

Le rôti et son yorkshire

Dans ma famille, c’était comme ça le dimanche midi : un peu comme Belmondo, le rôti se baladait toujours avec son yorkshire. Sauf que  celui là se mangeait en pudding. Le Yorkshire Pudding, c’est une recette que je n’ai jamais retrouvée autour de nul autre rôti mais là, à Cherbourg, c’était comme ça: une espèce d’accompagnement entre purée et crèpe. Quelque chose d’assez improbable mais carrément bon. Un incontournable du boeuf & Cau. Il se trouve que je n’avais jamais pratiqué le yorkshire et ça m’a pris, là. Tant qu’à faire dans le rôti tradi, faisons tradi. Ecrite en anglais (sans doute issu de ma branche anglaise so so) dans ce fameux livre de ma grand mère qui abrite les visitandines et la marmelade d’oranges amères que je vous ai déjà livrées, le yorkshire pudding est à la page du 24 mai, St Donatien. L’idée, c’est une base pâte à

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