RAP parisien sur Marseille
Retrouver un peu de Marseille à Paris, ça fait un bien fou. Alors ce RAP de la capitale sur notre meilleur talent italien, ça n’est pas perdu pour tout le monde! Je vous avais dit que j’irai voir notre Alessandra Pierini régionale qui court désormais à l’extérieur. C’est fait! Le mercato culinaire nous l’a bel et bien piquée. L’ancienne génoise de PAsta & Dolce a déplacé son épicerie dans le 9è mais surtout ouvert un vrai restau, avec une belle pièce (un peu trop bourgeoise), de l’art au mur et un vrai sommelier complètement investi: Giovanni. Giovanni vous sert comme il boirait. Un Morello di Scansano ou un Zidarich 2007 qui vous font dire que la culture vino italienne reste à combler. La carte de RAP qui se divise en antipasti (15.18€), primi piatti (15.18€) et secondi (25.28€) justifie des prix assez élevés par une sélection précise de produits et …
Kunitoraya 2 à deux

« Dej chez Kunotoraya » m’a invectivé Cyril (Mr Miam). On devait parler boulot alors je me suis dit que le Kinopanorama c’était un peu bizarre comme rendez vous… Mais le Miam aime bien faire des japoniaiseries… C’est pour ça que j’aime bien y travailler. D’ailleurs, arrivée au 4 rue Villedo, niet, pas de japs. Store baissé. « Magne toi », me balance son sms niais. En fait, c’était juste à côté : à la brasserie! Kunitoraya 2 (le prems est rue St Anne) est installé dans une déco hyper bistrot parisien et ca file la pêche d’emblée ce décalage. D’ailleurs yaka aller voir leur site: il est top!!! Tout comme le menu d’ailleurs. Onigiri (18€), donburi ou mushi sushi (22€). Cyril m’a fait Yebisu (la bière locale) et hop, on a enfourché nos baguettes. Le menu Onigiri de Kunotoraya est un mix de beignets, soba et … onigiri. Des temakisuhi trop bons, ces …
L’Osteria dell’ anima: ma planque à pâtes
L’Osteria dell’anima c’est la planque absolue. L’adresse qu’on hésite à livrer, le petit couloir qu’on voudrait se réserver pour être sûr d’y avoir toujours sa table, juste là entre quatre murs. Son petit coin de pasta au milieu de cette vraie déco de trattoria, où l’on est à l’aise que par l’odeur et l’ambiance. Et l’accent de la patronne bien sûr. De celles qui vous déroulent tagliatelles et lasagnes à la demande, juste derrière vous sur la table en saule (comme il se doit) entreposée au milieu de l’estancot, d’un geste qui signifie toute la pratique. Marika donne faim! Après, rien n’à dire. Tagliolini gambas et trevise, parpadelle encre de seiche et camalars ou « vrais lasagnes », aux 3 viandes…. On mange, on pleure et basta. L’adresse que même Google ne connaît pas. Et pour cause, elle est du genre à se la garder.